+51°C au Pakistan, +48°C au Mexique, +46°C en Égypte. Partout dans le monde, des températures historiques sont enregistrées, menaçant la santé humaine, l’approvisionnement en eau, les récoltes futures et même la biodiversité, qui ne résiste pas à une chaleur si accablante.
Cette année encore, et bien qu’elle ne soit pas encore terminée, nous avons battu des records de chaleur. C'est une conséquence du réchauffement climatique.
Ainsi, les villes doivent s’adapter au changement climatique en anticipant les futures canicules, sécheresses et inondations que nous subirons. Nous devons faire de nos villes des « Villes résilientes ».
A cet égard, notre groupe a pris ses responsabilités et a proposé à la majorité municipale de mettre en place un groupe de travail sur la végétalisation de notre ville afin d’éviter l’effet d’étuve en centre-ville et dans les quartiers de diminuer la température dans les endroits les plus sensibles pour la population. La végétalisation vise aussi à amoindrir les effets des sécheresses et inondations.
Mais, peu encline à travailler avec l’opposition, l’équipe municipale n’a pas saisi notre « main tendue » et le groupe de travail ne se réunit plus.
Selon la parabole du colibri, la municipalité doit prendre sa part dans la lutte contre le réchauffement climatique, et ce, avec toutes les bonnes volontés.