Notre article initial a été censuré par le président du Grand Dole.
Notre groupe a annoncé dès le début du mandat notre intention de participer, proposer, construire en étant respecté dans nos différences.
Notre article initial a été censuré par le président du Grand Dole.
Notre groupe a annoncé dès le début du mandat notre intention de participer, proposer, construire en étant respecté dans nos différences.
Lors du Conseil municipal de Mars, nous avons voté pour le plan vélo (pistes cyclables).
Mais ce qu’on souhaite aussi voir dans ce plan, c’est la promotion de la pratique utilitaire du vélo dès l’âge où les habitudes se prennent. D’autant plus que la validation de l’Attestation de Première Education à la Route constitue une obligation pour les élèves de l’école primaire.
1er essai manqué
2018 : Augmentation du taux de la taxe d’habitation par le Grand Dole ; les Grands Dolois paient. Mais à la suite de la suppression nationale de cette taxe (pour redonner du pouvoir d’achat aux Français), l’Etat ne compense pas les 2,5 millions d’euros annuels supplémentaires espérés par le Grand Dole car des collectivités n’ont pas joué le jeu de la hausse du pouvoir d’achat.
2ème essai proposé
2021 : Augmentation de 3,79 points de la taxe foncière pour compenser le pari perdu avec la taxe d’habitation. Ce taux passera donc de 3,61 % à 7,4 %, il aura plus que doublé. Les Grands Dolois devront payer environ 50 euros de plus par an et par personne au Grand Dole.
Fin du match
Pour éviter cela, il faut que les délégués de vos communes refusent de voter la hausse de la taxe foncière et que votre Conseil municipal n’adopte pas le pacte fiscal s’il comprend cette hausse de la fiscalité.
Nous vous invitons à vous rapprocher de vos élus au Grand Dole, pour leur demander d’agir pour éviter cette ponction conséquente sur votre budget : ce qui représente, environ, en moyenne 200 euros/an/pour une famille avec 2 enfants.
Groupe « Un Territoire Solidaire »,
Après une hausse des taux de taxe d’habitation en 2015, 2016, taxe foncière en 2015, 2016, 2018, une nouvelle hausse se fera en 2022. De plus, les communes seront ponctionnées pour venir au secours du Grand Dole (CAGD) en grande difficulté financière. Pourquoi cette difficulté ? Si l’Etat a réduit la dotation versée à la CAGD, les hausses d’impôt ont compensé ce manque à gagner. Le problème vient d’un investissement somptuaire : le complexe aquatique. La Cour des comptes, dans son rapport de 2018 avait mis en garde face à cet investissement trop lourd pour notre petite agglomération, elle a écrit : « Le coût d’un tel projet interroge au regard de la situation et des capacités financières de la CAGD. » « À elle seule, une telle opération risque de dégrader la situation financière de l’agglomération dans des proportions importantes. ». Nous avions mis en garde la CAGD et proposé un projet alternatif coûtant 2 fois moins cher.
À cause de cette mauvaise gestion, les communes seront ponctionnées (au risque de les mettre en difficulté), les impôts augmenteront (à l’heure où nos concitoyens souffrent et voient leur revenu diminuer du fait de la COVID).
Lors du Conseil de novembre, des travaux commandés pour la construction d’un immeuble cours Clémenceau ont été résiliés. Or 235 000 € d’études avaient été engagés, nous devons les rembourser : un gâchis. A la place il sera construit un immeuble pour y installer des services tertiaires et médicaux. Un projet immobilier ne constitue pas une politique de santé pour notre territoire. C’est pourquoi, nous avons proposé de nous orienter vers un centre de santé dans lequel des soignants (infirmiers, spécialistes...) seraient recrutés par la Ville pour y mener la politique de santé de la municipalité. Cela aurait été bien utile en cette période de pandémie.
S’agissant de santé, nous avons une pensée particulière pour les plus démunis et les personnes seules. Dans une société de plus en plus fracturée, divisée nous appelons chacun à l’entraide, à la solidarité. Nous émettons le vœu que les élus jouent un rôle d’apaisement, d’écoute pour apporter une réponse aux inquiétudes et interrogations de nos concitoyens. Avec ce second confinement, une partie de la population se sent isolée et incomprise. Nous souhaitons que les investissements dans nos hôpitaux soient à la hauteur pour soulager les soignants et rassurer nos concitoyens. Nous appelons chacun à être solidaire avec nos commerçants qui souffrent, et espérons que la crise sanitaire ne soit plus qu’un mauvais souvenir en 2021.